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il y a 6 ans
Je travaille dans une grande société comme responsable d’une équipe sur Toulon, j’ai 36 ans et banal dans mon genre. Notre société a un siège régional qui se trouve à Aix en Provence. Mais loin de tous et avec une équipe sympa la vie y est douce. Je fais beaucoup d’heures de travail, ce qui a coûté mon mariage il y a 2 ans, mais je suis mon propre chef dans mon quotidien. Siège, vers qui je dois rendre des comptes de fonctionnement, de gestion, de rentabilité, etc. Je dois m’y rendre périodiquement en réunion et pour différentes raisons de fonctionnement de mon équipe qui comporte 37 personnes.
Lors d’une de mes réunions, mon Directeur régional m’informe que je suis l’heureux élu de l’audit qui sera fait sur mon activité managériale, mes résultats et le respect de règles comptable et administratives. Je vois mes collègues des autres sites de la région sourirent car eux passent au travers de cet audit qui tombe comme l’inquisition de notre activité.
Le soir, je rentre à Toulon en pensant à cette corvée car, bien sur, quelqu’un va venir pour auditer mon service et éplucher tous les dossiers. Je vais devoir me rendre disponible et pendant ce temps mon travail n’avance pas et je vais terminer à des heures impossibles.
Un matin, je reçois un appel téléphonique :
-
Bonjour Christian, c’est Karine du pôle de contrôle de gestion.
-
Bonjour Karine, je ne te demande pas ce qui t’amène car je suppose que tu appelles pour l’audit.
-
Oui, et d’ailleurs cette année le centre parisien nous demande d’élargir le secteur de contrôles et d’approfondir certains problèmes.
-
Chouette, tu me combles de joie.
-
Ne t’inquiète pas, je sais que ta gestion doit être irréprochable. Je viendrai lundi prochain à 8H00. Je ne resterai que trois jours et je reviendrai tant que je n’ai pas fini l’audit.
-
D’accord Karine, je te laisserai mon bureau, ce sera plus pratique pour toi et tu auras ainsi accès aux dossiers dont tu as besoin.
-
Eh bien à Lundi. Au revoir.
-
Au revoir Karine.
Karine est une femme d’environ 45 ans qui est sympathique et charmante mais un peu pince sans rire. Je l’apprécie beaucoup malgré sons air un peu sévère.
Le lundi, Karine arrive comme prévu à 8H00 et me trouve dans mon bureau car je suis tous les jours au travail à 7H30.
-
Bonjour Christian.
-
Bonjour Karine.
Je me lève pour lui faire la bise comme à l’accoutumé.
-
Je t’ai libéré mon bureau pour que tu trouves tout ce que tu as besoin.
-
Et toi ?
-
Je m’installe dans le bureau d’à côté car j’ai beaucoup de courrier à lire et à signer. Donc, cela ne me gêne pas.
Sur ce, je la laisse s’installer dans mon bureau. Passe la matinée ainsi dans son quotidien. Quand arrive midi et demie, je me lève et vais frapper à la porte de mon bureau pour proposer à Karine d’aller déjeuner.
-
Karine, je te propose d’aller déjeuner.
-
Je te remercie mais le midi je ne mange pas. Je vais lire un peu pour me changer.
-
Très bien, à tout à l’heure.
-
Bon appétit.
Au retour de mon repas, je retourne dans le bureau afin de régler les affaires courantes. Peu de temps après Karine me demande de venir la voir. Je me lève et la suis vers mon bureau qu’elle occupe. Tout en fermant la porte, je vois mon ordinateur portable professionnel ouvert sur le bureau. Bien que je trouve çà un peu cavalier de l’utiliser sans m’en avertir, je ne dis rien.
- Dis moi Christian, ce midi je me suis permise d’ouvrir ton portable afin de faire une recherche sur internet et par mégarde je suis tombé sur çà…
Et là, elle tourne le portable pour que je vois le site dont elle parle. Et surprise, le site en question est un site d’histoires érotiques de femmes dominatrices.
-
Tu me racontes ?
-
Tu vois Karine, des fois le soir après le boulot, je me connecte et je fais un peu de lecture pour me détendre.
-
Tu sais que le patron voit d’un très mauvais œil l’utilisation du portable professionnel pour surfer sur des sites pornos ?
-
Oui je sais mais ça reste entre nous ?
-
Je ne sais pas Christian. Nous en reparlons plus tard.
J’ai compris que je suis dans la m e r d e si Karine décide d’en parler au patron. L’après midi se passe ainsi. Karine et moi, chacun dans son côté. Arrive 19H00, Karine entre dans mon bureau et ferme la porte.
-
Christian, j’ai bien réfléchi cet après midi et malgré que tes lectures de domination féminines soient interdites par le patron, je ne vais rien lui dire.
-
Merci Karine, c’est sympa de ta part.
-
Ne me dis pas merci, il y a une condition.
-
?????
-
Puisque tu aimes la domination, je veux que tu viennes demain au bureau sans sous-vêtement sous ton costume.
-
?????
-
Si tu ne fais pas ce que je te demande, tu vois ce qu’il me restera à faire.
Sur ce, elle tourne les talons et part à son hôtel. Pendant ce temps là, moi de reste complètement scotché sans quoi penser. Bien sur la domination féminine est pour moi un fantasme inassouvi mais c’est un fantasme avant tout. Je n’ai jamais passé le pas et là je me trouve sur un ordre d’une femme sans que je ne l’ai vu venir.
Toute la nuit je tourne et vire dans mon lit sans pouvoir m’endormir tant cette exigence m’obnubile. Le Mardi matin, je me lève tout embrumé et m’active comme d’habitude en faisant mon café puis allant prendre ma douche. Je retourne dans ma chambre et je sors une cravate, une chemise, un caleçon et mon costume.
Au moment de mettre mon caleçon, je reste suspendu dans mon geste. Je m’assois sur mon lit en tenant ce caleçon dans mes mains. Que faire ? Après un long moment et comme un zombi, je le jette dans mon tiroir et m’habille. Après tout, cela ne m’engage à rien et personne ne peut s’en douter. En partant au travail je sens mon cœur battre comme un a d o l e s c e n t qui va à son premier rendez-vous.
J’arrive au bureau comme d’habitude à 7H30 et, la bouche sèche. Karine est déjà là. Elle lève la tête et me sourit en me disant bonjour.
-
Bonjour Christian, as-tu besoin de ton ordinateur aujourd’hui ?
-
Bonjour Karine. Oui, j’en ai besoin. Il faut que je consulte mes messages et que je valide les commandes et les factures.
Elle me tend mon portable avec un sourire coin et me laisse partir. Plus tard dans la matinée, elle passe me voir pour me demander des explications sur un dossier.
-
Dis-moi Christian je peux te déranger un quart d’heure ?
-
Bien sur Karine, entre.
Elle entre et ferme la porte afin que nous soyons tranquilles. Se met à côté de moi et ouvre le dossier sur le bureau.
-
As-tu fait ce que je t’ais demandé hier ?
-
Heu…
-
Alors ?
-
Oui Karine. Dis-je dans un murmure.
-
Baisse ton pantalon et rassies-toi.
Je reste comme un couillon sans avoir si c’est du lard ou du cochon et regarde Karine les yeux et la bouche grands ouverts.
- Dépêche-toi sinon j’envoi au patron les vidages d’écrans ainsi que l’historique de tes prestations sur internet.
Après un moment de suspend, je me lève le rouge au joues. Défait ma ceinture et ouvre mon pantalon. Je reste comme un e n f a n t en faute et je n’ose pas baisser mon pantalon.
- Alors !
Je le baisse tout doucement jusqu’aux genoux.
- Assied-toi !
Je m’assois.
- Reste comme ça jusqu’à mon retour.
Elle part et me laisse ainsi la porte ouverte. Les gens passent dans le couloir, malgré que le fond de mon bureau soit aveugle, j’ai l’impression que tout le monde le voit. Dans la matinée un collègue entre, s’assied dans le fauteuil en face de moi et commence à discuter. Après un petit moment.
-
Qu’est ce qu’il y a Christian ? Tu as un problème ?
-
Je ne sais pas mais je pense que je couve quelque chose.
-
Fait gaffe car il y a des angines dans l’air. Alain de la compta est couché avec une forte fièvre.
-
Je vais prendre quelque chose ce soir pour anticiper et dodo ce soir.
Il quitte mon bureau. Immédiatement après, Karin arrive et ferme une nouvelle fois ma porte.
- C’est vrai que tu devrais te couvrir. Ce serait bête d’attr a p e r froid. Le patron penserait que tu évites l’audit.
Elle me tend une culotte de femme.
-
Tient, met çà tu auras plus chaud.
-
…….
-
Tout de suite !
Je prends le sous-vêtement féminin, et comme un automate, je tombe mon pantalon pour enfiler la culotte. J’enfile vite mon pantalon pour que personne ne voit cela si la porte s’ouvrait.
-
Très bien.
-
Je savais que tu suivrais mon conseil vestimentaire.
-
Cet après-midi je vais à Aix, tu restes ainsi toute la journée...Ce soir tu la laveras à la main et tu reviendras avec demain… Je serais ici. Tu passes me voir en arrivant.
Je passe ma journée ainsi sans oser sortir du bureau car je pense que tout le monde voit la situation vestimentaire dans laquelle je me trouve. Le soir, je fais ma petite lessive. Et le lendemain matin je m’habille avec ce sous-vêtement. J’arrive au bureau et je retrouve Karine tout souriante.
-
Bonjour Christian.
-
Bonjour Karine. Dis-je dans un souffle.
-
Entre et ferme la porte.
Je fais ce qu’elle me demande, bien que le ton soit plutôt autoritaire.
- Baisse ton pantalon et penche-toi sur le bureau.
Je fais ce qu’elle m’ordonne sans un mot. Elle me caresse les fesses par-dessus la culotte puis écarte un côté. Je sens son doigt inquisiteur suivre ma raie culière. Puis se stabiliser sur ma rondelle.
-
Christian, je vois que tu as compris mon message… Je vais m’occuper de toi comme dans tes lectures. Puisque c’est ton fantasme. Tu m’appelleras Maîtresse Karine et tu me vouvoies quand nous sommes seuls. Sinon c’est Madame quand il y a du monde que nous connaissons… Bien sur, tu ne me fais plus la bise.
-
Oui, répondis-je.
-
Pardon !!!! Tout en infiltrant son doigt dans mon anus d’un coup sec.
-
Aie, Oui Maîtresse Karine.
-
Je vais te mettre un petit plug puisque tu es vierge. Tu le garderas toute la journée.
-
……
-
Tu dis ?
-
Oui, Maîtresse Karine.
-
Ce soir, tu me rejoindras ici avant de partir pour que je t’en mette un plus gros pour la nuit.
-
…… Oui Maîtresse Karine.
Elle me fait sucer le plug qui pourtant est fin mais dont j’ai l’impression que cela ne rentrera pas dans mon anus qui n’a jamais été pénétré. Je suce tant que je peux pour cela glisse. Tout du moins d’après mes lectures je l’avais intégré comme ça. Elle le présente à mon anus après avoir enlevé son doigt puis l’avança tout doucement en faisant un mouvement de va et viens. L’objet entre petit à petit puis je sens qu’il est entré complètement par le contact de ses doigts.
-
Voilà esclave, tu vas garder ça et penser à moi qui suis ta nouvelle maîtresse. Es-tu content ?
-
… Oui, Maîtresse Karine
-
Rhabille-toi, puis embrasse mes chaussures pour me remercier.
Je renfile mon pantalon puis je me mets à 4 pattes pour embrasser ses chaussures. Contrairement aux lectures, je suis loin de bander avec ce truc dans le fondement. La journée se passe comme un enfer. J’ai sans cesse l’impression que tout le monde sait que je porte une culotte et que j’ai un gode dans le cul. La position assise m’est insupportable, je ne pense qu’à lui pendant que je travaille et quand j’ai voulu aller aux toilettes j’ai eu l’impression de ne pas y arriver et de le perdre. Le soir venant, je fais le tour de bureaux pour m’assurer que tout le monde est parti avant d’aller dans le bureau de Maîtresse Karine.
- Ah, te voila mon petit esclave. Déculotte-toi et mets-toi en position comme ce matin.
Je m’exécute.
Elle m’enlève délicatement le plug en le faisant tourner sur lui-même.
- Ferme les yeux et prend-le en bouche.
Je ferme les yeux et elle me le présente dans ma bouche. Le plug est chaud et le goût est âcre. Je n’ose penser au pourquoi de ce goût. Je l’entends farfouiller dans un sac. Je sens un liquide froid sur mes fesses puis qu’elle présente le nouveau plug. Son introduction est plus difficile encore que celui du matin. Je sens que mon anus s’élargit de plus en plus puis il aspire le nouveau plug d’un coup. C’est certainement le point étroit qui est passé.
-
Très bien mon petit soumis. Tu vas le garder cette nuit. Tu laveras la culotte pour demain et tu te présenteras comme ce matin.
-
Oui, Maîtresse Karine
-
Tous les après-midis tu le remettras jusqu’à lundi prochain comme ça tout anus sera assoupli.
-
Oui, Maîtresse Karine
-
Maintenant, enlève ton pantalon et tu vas me déchausser pour lécher mes pieds.
-
Bien, Maîtresse Karine
Je fais ce qu’elle dit et prend son pied dans mes mains pour le lécher. Son pied est chaussé dans un bas et sens la transpiration de la journée. La situation est tout à fait bizarre, hier je fantasmais de soumission et aujourd’hui je suis en train de lécher les pieds d’une collègue avec un gode dans le cul, habillé d’une culotte de femme. La situation, même si elle sort de l’ordinaire, me plait. Après avoir bien léché le pied, je passe au second. De longues minutes passent et je prends plaisir à cette situation.
-
Enlève mon collant en continuant à regarder mes pieds et enfile-le.
-
Oui, Maîtresse Karine
Je monte mes mains sous sa jupe et attr a p e le bord pour lui ôter son collant. Je le descends délicatement puis je lui ôte. Il est en boule entre mes mains.
-
Enfile-le
-
Oui, Maîtresse Karine
Je me mets en charge de le remettre à l’endroit pour l’enfiler. La situation est pitoyable car un homme est empoté pour mettre un collant. Elle rigole.
Une fois que c’est fait.
-
Passe ta tête sous ma jupe et lèche l’entrejambe de ma culotte.
-
Oui, Maîtresse Karine
Je passe ma tête et monte pour me trouver au contact de la culotte. Je me mets en charge de lécher celle-ci. Il fait noir et chaud sous la jupe et la place manque pour me mettre dans une position idéale même si celle-ci est assez ample. Quoi qu’il en soit, je la lèche et, d’après ce que j’entends, elle aime mes caresses buccales. Un long moment passe et je prends moi aussi plaisir à cette situation. Puis arrive le moment où elle semble défaillir sur ses jambes et semble jouir. Elle me maintient la tête en contact et mouille sa culotte. Un jus chaud commence à mouiller l’entrejambe.
- Bois tout esclave !
J’aspire le jus. Est-ce de la cyprine ou de l’urine, je ne sais rien mais j’aspire. Après un moment :
- enlève ma culotte avec ta bouche puis enlève ta tête de sous ma jupe esclave.
Je cherche à saisir sa culotte avec ma bouche en passant ma langue dans l’entrejambe et l’attr a p e avec mes lèvres, puis enlève ma tête délicatement. L’opération est moins facile qu’il n’y parait mais à f o r c e de patience j’y arrive. Je me présente à genoux avec la culotte qui pendouille à ma bouche.
- Aspire bien le jus de la culotte puis viens me laver le sexe avec ta langue.
Je prends l’entrejambe dans ma bouche et j’aspire très fort l’humidité de ma Maîtresse. Puis je me mets encore une fois sous la jupe pour lécher son sexe et lui enlever toute trace de son intermède jouissif.
- C’est tout.
Je m’enlève et me présente face à elle.
-
Tu vas garder ma culotte ce soir pour la laver. Tu la fais tremper dans un bol d’eau claire puis tu bois l’eau, tu auras comme ça le goût de ta Maîtresse dans la bouche.
-
Oui, Maîtresse Karine.
-
Tu me la ramènes demain propre.
-
Oui, Maîtresse Karine.
-
Part maintenant esclave et lave ton plug avant de venir me voir.
-
Au revoir Maîtresse Karine.
Il est 20H00, j’enfile mon pantalon par-dessus le collant, je ferme la porte et je rentre chez moi afin de faire mes tâches du soir. La nuit se passe d’une façon très difficile avec mon plug dans le cul qui m’échauffe et semble m’irriter. Je suis tenté de l’enlever mais je prends donc un somnifère pour arriver à dormir. Le mercredi matin j’arrive comme toujours à 7H30 pour me présenter dans le bureau de Maîtresse Karine dans un ensemble tailleur pantalon bleu foncé très strict. J’entre et je referme la porte.
-
Bonjour Maîtresse Karine
-
Tu as fais ce que je t’ai demandé ?
-
Oui Maîtresse Karine.
-
En position
J’ouvre ma sacoche pour lui donner sa culotte et ses collants propres. Je baisse mon pantalon et me penche sur le bureau.
- C’est bien tu prends des initiatives de laver mes collants. Voyons ton cul.
Elle enlève mon plug qui est propre et sort un gant en latex de son sac qu’elle enfile. Elle le lubrifie puis introduit deux doigts dans mon anus. Cela semble rentrer facilement après le traitement. Elle m’informe qu’elle ne mets trois. Si au début cela rentre facilement très rapidement mes limites sont atteintes.
-
Très bien d’ici peu je te rentrerais ma main dans le cul…Tu as aimé mon goût en lavant ma culotte hier ?
-
Oui beaucoup Maîtresse Karine.
-
Je t’ai pissé dans la bouche et tu aimes ? C’est bien.
-
Merci Maîtresse Karine
-
Dans la journée je te ferai un cadeau puisque tu as aimé.
-
Merci Maîtresse Karine
-
Va travailler esclave. Ton anus sera libre ce matin.
-
Merci Maîtresse Karine
Je rentre dans mon bureau et travaille l’esprit quelque peu occupé. Mon anus me semble vide mais soulagé. Ma Maîtresse ne m’appelle pas et arrivé l’heure du déjeuner je me présente à elle.
-
Vous désirez déjeuner Maîtresse Karine ?
-
Non esclave et ne bois pas trop à table nous prendrons un verre ensemble après ton repas.
-
Bien Maîtresse Karine
De retour de mon déjeuner je me présente dans le bureau et ferme la porte.
-
Enlève ton pantalon et assied toi sur le plug que tu vas lubrifier avec ta salive.
-
Oui Maîtresse Karine
Je fais tomber mon pantalon et prends le plug. Je le lèche du mieux possible pour mettre un maximum de salive. Je le pose sur le fauteuil et je présente mon anus après avoir écarté ma culotte. Je descends petit à petit. Je sens qu’il rentre mais mon conduit est sensible. Ma Maîtresse me regarde avec un petit sourire aux lèvres. A f o r c e il entre complètement.
-
Ca y est Maîtresse Karine il est entré.
-
Remets ton pantalon.
De là, elle sort d’un tiroir deux verres remplis d’une boisson. Elle me tend un verre et bois à l’autre. Je trempe mes lèvres et je n’ose reconnaitre le goût.
-
Puisque tu as aimé mon urine je t’en ai préparé un verre. Tu es content esclave ?
-
… Oui Maîtresse Karine
-
Et bien bois-le, mon petit esclave.
Je le porte à ma bouche et bois par petites gorgées. Le liquide est froid et le goût pas trop fort.
-
Tu as de la chance, j’ai bu de la tisane toute la matinée.
-
Merci Maîtresse Karine
-
Quand tu seras plus avancé dans ta soumission, je mangerai des asperges pour que tu apprécies mieux le goût.
-
… Merci Maîtresse Karine
Mais l’intonation de ma réponse ni est pas car l’asperge fait très fortement augmenter l’odeur de l’urine dont je suppose le goût aussi.
-
Quand tu auras fini ton verre tu retournes dans ton bureau.
-
Merci Maîtresse Karine
-
Quand tu auras soif dans l’après-midi, n’hésite pas à me demander un verre. Je t’interdis de boire autre chose que le champagne de ta Maîtresse.
-
Bien Maitre Karine,
Je retourne donc travailler avec le goût dans la bouche de son urine qui avait bon goût. Certainement les tisanes. En fin d’après-midi, je m’apprête à partir. Je passe dans le bureau de ma Maîtresse. J’entre et referme la porte.
-
Je vais partir Maîtresse Karine. Si vous m’y autorisez.
-
Je rentre à Aix ce soir. Tu vas continuer jusqu’à lundi matin ton travaille d’assouplissement…Tu te mets le plug dans l’anus tous les après-midi et tu l’enlèves pour diner puis tu le remets pour dormir.
-
Oui Maîtresse Karine
-
Tu vas t’acheter des culottes de couleurs différentes pour toute la semaine. Ainsi qu’un porte-jarretelles avec des bas.
-
Oui Maîtresse Karine
-
Tous les jours tu laves tes culottes et ton plug délicatement à la main… Je t’interdis de toucher ton sexe et encore moins de te masturber.
-
Très bien Maîtresse Karine
-
Si je m’aperçois d’un manquement, n’importe lequel, je fais un rapport au patron sur tes manques de professionnalisme.
-
Oui Maîtresse Karine
-
Tu peux partir et réserve tes soirées de la semaine prochaine.
-
Oui Maîtresse Karine
Sur ce, je pars du bureau et rentre chez moi. J’ôte ma culotte et mon plug pour les laver dans le lavabo.
Trop honteux d’aller dans un commerce pour acheter des culottes, je me connecte à Internet. Après tout, elle m’a demandé d’acheter des culottes et elle ne m’a pas imposé la méthode donc je vais sur un site de vente en ligne et commande le tout. Livraison 48H00, comme ça je ne prends pas de risque de ne pas les avoir pour lundi.
C’est ainsi que la semaine se termina avec un tel changement en peu de temps. D’une petite vie bien rangée je suis devenu l’esclave de Maîtresse Karine.
La fin de semaine s’est passée avec de nouvelles habitudes, tous les matins j’enlevais le plug de mon anus puis je le lavais soigneusement avant de le mettre dans ma mallette de travail. Après ma douche je prenais ma culotte de femme afin de m’habiller puis je m’habillais soigneusement pour me rendre à mon travail.
Le midi, après mon déjeuner, je m’introduisais mon plug dans l’anus qui s’habituait à cette pénétration. Je continuais mon activité professionnelle en oubliant presque cette introduction anale qui commençait à devenir normale, enfin presque. Mes rendez-vous étaient moins gênants pour moi, et bien que Barbara ma secrétaire, une femme brune de mon âge, divorcée comme moi et bien faite de sa personne, ait ressentie un changement dans ma façon d’être, elle me souriait comme si nous avions une complicité nouvelle. Mais je me faisais des idées car comment l’aurait-elle su ce secret.
Le soir, en rentrant j’ôtais culotte et plug pour faire ma petite lessive et après diner je remettais mon plug pour dormir. Bien que récente, c’était ma routine imposée par ma Maîtresse. Pendant le week-end, il m’est arrivé d’avoir le besoin de me toucher, mais je me rappelais la menace de Maîtresse Karine et de ses conséquences bien que je ne sais comment elle l’aurait su mais une boule au ventre me retenait.
Le samedi matin, j’ai reçu mon colis que j’ai ouvert le cœur battant de découvrir ma nouvelle panoplie. J’ai déballé mes sous-vêtements et mes accessoires féminins que j’ai commandé en quantité supérieure à celle exigée par ma Maîtresse au cas où une ne m’aille pas ou ne plaise pas à ma Maîtresse. Je faisais des essais et je me trouvais ridicule face à la glace avec un string, mes porte-jarretelles assortis et mes bas, avec tous ces poils qui se voyaient au travers les bas.
Le dimanche soir, tout en m’introduisant ce plug j’étais content de retrouver ma Maîtresse le lendemain matin et le sommeil est venu difficilement.
Le lundi matin, je me prépare en mettant ma plus belle culotte et je m’habille. Puis je pars au travail. En arrivant je ne trouve personne dans mon bureau. Déçu, je m’exile dans le bureau que je m’étais octroyé pour laisser la place libre à Maître Karine et je me mets au travail. Quelques temps après Maîtresse Karine arrive et ferme la porte.
-
Bonjour Maîtresse Karine
-
Bonjour esclave, as-tu fait tout ce que je t’ai demandé durant ces quelques jours ?
-
Oui Maître Karine
-
Voyons cela. Mets-toi en position.
Je me lève, ouvre mon pantalon et me penche sur le bureau. Elle met un gant en latex qu’elle a sorti de son sac puis le lubrifie pour introduire de suite trois doigts. Ceux-ci entrent sans trop de mal. Essaie un quatrième et l’opération est plus difficile.
- Très bien esclave, nous allons passer à la vitesse supérieure. Rhabille-toi.
Je me redresse et la voie sortir de son sac un nouveau plug mais plus gros.
-
Le plug que tu as mis a commencé à faire son effet mais il ne faisait que 3 cm de diamètre celui-ci fait 5 cm, voici du lubrifiant et un tube de crème calmante pour ton cul. Attention, tu n’auras qu’un tube de crème, saches endurer pour économiser. Ce midi, tu te le mettras bien sur pour l’après-midi et ne prévoit rien pour ce soir tu m’invites, ainsi qu’une amie à moi, à manger puis nous passons la soirée ensemble.
-
Oui Maîtresse Karine.
-
Amuse-toi bien.
Elle sort de mon bureau sans plus d’explication. Nous n’avons pas de contact de la journée et sa porte est fermée. Le midi, je rentre de déjeuner et vais m’isoler afin de mettre le plug qui me semble énorme. Je le lubrifie largement ainsi que mon anus puis le met en position pour me l’introduire en douceur mais sa pénétration est très difficile mais après un combat acharné, il entre dans mon fondement. Je reste quelques minutes le souffle coupé avec l’envie de l’ôter mais je me le refuse. Par peur ou par excitation, je ne sais.
Je suis défoncé de l’anus et ma position assise au bureau m’est pénible mais je résiste. Quand entre Barbara pour me donner du courrier à signer, elle s’arrête sur le pas de la porte et me dit :
-
Qu’y a-t-il Christian ? Tu es tout pâle, ça ne va pas ?
-
J’ai mal au ventre, j’ai du manger quelque chose qui ne passe pas.
-
Décidemment ces derniers temps tu es fragile la semaine dernière puis aujourd’hui. Il va falloir te coucher tôt ce soir pour récupérer.
-
Je ne peux pas j’ai un diner ce soir.
-
Cela ne va pas arranger les choses, tu vas arriver encore plus fatigué demain.
-
C’est sur.
Elle s’approche à côté de moi et pose le courrier à signer.
Le soir, je me lève et vais retrouver Maîtresse Karine, je ferme la porte.
-
Il est 19H00 Maîtresse Karine, voulez vous que nous allions dîner ?
-
Où m’emmènes-tu ?
-
Au restaurant du port à Carqueiranne Maîtresse Karine.
-
J’appelle mon amie
Elle appelle quelqu’un et lui donne l’adresse.
- Allons-y esclave
Nous montons dans ma voiture et partons à Carqueiranne. Nous arrivons au port et nous installons à une table que j’ai réservée pour trois.
- Mon amie va arriver, en attendant commande une bouteille de vin blanc en apéritif.
Je commande une bouteille qu’ils nous servent. Je goûte le vin et sers un verre à Maîtresse, puis je vais m’en servir un quand elle m’arrête.
- Pour toi, j’ai un nectar.
Elle sort une petite bouteille de son sac et me sers un verre qui a la même couleur que le vin blanc. D’instinct, je me doute du type de boisson dont je vais avoir droit.
-
A la nôtre et à notre nouvelle relation de travail.
-
A la vôtre Maître Karine.
Je trempe mes lèvres dans le liquide pour reconnaître le champagne de Maîtresse. Quand tout à coup, qui je vois arriver ?
-
Barbara ????
-
Oui, c’est Barbara me dit Maîtresse
D’un seul coup je crois que je vais m’évanouir.
-
Barbara est une Maîtresse comme moi. C’est elle qui a remarqué que tu visitais des sites pornos de domination féminine et que tu avais une docilité naturelle vis-à-vis des femmes. Elle m’en a parlé et j’ai eu l’idée de faire un audit chez toi pour avoir un moyen de pression.
-
Tu vois Christian, me dit Barbara, tu es un mec sympa au travail et j’ai pensé donner du corps à ton fantasme. Au fait, ton mal au ventre va mieux ?
-
Oui Barbara. Bafouillais-je
-
Non, c’est Maîtresse Barbara
-
….
-
Pardon, je n’ai pas entendu
-
Oui Maîtresse Barbara
-
Tu vois je t’avais dit qu’il apprenait vite. dit Maîtresse Barbara à Maîtresse Karine.
-
Il apprend vite et il s’élargit vite. Je pense que d’ici peu il passera à 6 cm. Dit Maîtresse Karine.
-
Quoi qu’il en soit buvons un verre. Il est bon ce vin esclave ?
-
Oui Maîtresse Barbara. Bafouillais-je encore étourdi de cette situation.
-
Bois vite que je te fasse gouter un autre cru. Tu veux bien esclave ?
-
Euh…Oui Maîtresse Barbara.
Je buvais mon verre en ne laissant rien paraître pendant que mes Maîtresses papotaient comme si s’était une situation normale. Le repas se passait comme si je n’étais pas là.
Le verre fini, Maîtresse Barbara sorti elle aussi de son sac une petite bouteille et me servi.
- Goûte vite
Je portais une nouvelle fois le verre aux lèvres et buvais. Le goût était plus salé.
-
Il est bon esclave ?
-
Délicieux Maîtresse Barbara
-
Comme je suis gentille je t’ai apporté un cadeau.
Elle me donna un paquet.
-
Tu vas l’ouvrir aux toilettes et l’essayer pour me dire ce que tu en penses ? Mais garde-le sur toi.
-
Oui Maîtresse Barbara.
Je me lève comme un zombi et me dirige vers les toilettes pour hommes. Rentre dans une cabine, ferme la porte et ouvre le paquet. Dedans ce trouve un objet en plastique avec un tube ainsi qu’un petit cadenas. Une cage de chasteté pour homme. Je regarde le mode d’emploi, baisse mon pantalon et ma culotte puis essaie de le mettre en place. Après un petit travail manuel je n’ai plus que le cadenas. Je suppose qu’il faut que je le mette aussi. Je le ferme dans l’emplacement prévu à cet effet.
Je me trouve ridicule avec ça entre les jambes. Je remonte ma culotte et mon pantalon puis retourne retrouver mes Maîtresses qui papotent toujours.
- Ah, te voila. Donne-moi la clé.
Je tends la clé à Maîtresse Barbara.
-
Bien, je vais t’expliquer. Maîtresse Karine reste encore un peu avec nous. Tu continueras à lui obéir même après son départ mercredi. Elle m’a apprit que tu léchais bien donc quand je le voudrais tu viendras dans mon bureau me faire plaisir. Mais aussi tu obéiras aux ordres que je te donnerais. Tu as compris ? Dorénavant tu es notre petite soumise. Comme tu mets des dessous féminins et que tu te fais posséder par l’anus, je pense qu’il est de bon aloi que nous ne considérions comme une soumise.
-
Oui Maîtresse Barbara.
-
Pour ce soir, nous allons aller dans la chambre d’hôtel de Maîtresse Karine et là nous allons te prendre avec un gode ceinture pendant que tu lèches l’autre Maîtresse. Comme nous sommes bonnes avec toi tu pourras soit nous pénétrer soit te masturber mais si tu jouis tu bois ton sperme. Compris ?
-
J’étais complètement anéanti. Oui Maîtresse Barbara.
-
Tous les jours, tu garderas ta cage de chasteté et un gode dans le cul. Vendredi après-midi tu as une réunion de compte rendu d’audit avec le Directeur, je te donnerais un gode vibrant que tu te mettras pour y aller. Quand Maîtresse Karine le jugera utile elle l’activera. Tu mettras ton porte-jarretelles avec de bas. Mais auparavant tu passeras chez une esthéticienne qui est une amie Maîtresse pour une épilation complète. Tu as rendez vous à 10H30, à mon avis tu n’auras pas le temps de prendre de repas ce qui sera bien car tu seras à jeun pour la soirée. Tu resteras à Aix pour finir la séance d’élargissement en vue que nous puissions te rentrer un bras dans le cul ce week-end.
-
Oui Maîtresse Barbara
-
Tu vas descendre aux toilettes avec Maitresse Karine qu’elle te mette un plug gonflable pour te préparer pour tout à l’heure.
Nous nous levons et partons aux toilettes femmes. Nous entrons dans une cabine et je me déshabille. Maîtresse Karine m’ôte le plug et rentre un autre avec une poire. Elle presse la poire et je sens le plug gonfler dans mon fondement. J’ai l’impression que je vais exploser tellement la pression est forte dans mon conduit anal.
- Voila, il est à son maximum. Il doit faire 6 à 7cm dans ton cul. Tu aimes ?
Je ne peux pas répondre tellement que j’ai le souffle coupé.
- C’est l’émotion. Rit-elle. Au fait j’aime bien ta culotte et ta cage de chasteté. Allez remballe et montons.
Je me rhabille avec un luxe de précautions pour ne pas bouger. Puis nous retournons à table. Ma démarche est difficile et j’ai la tête qui tourne. Le repas se passe, je ne mange presque rien mais par contre mes Maîtresse me donnent à boire de leurs bouteilles.
- Maintenant fini ton verre et paie la facture nous partons te défoncer le cul.
Nous nous levons, je ne sais si je vais pouvoir conduire.
- Donne-moi les clés, je conduis. Toi, tu montes derrière. Me dis Maîtresse Barbara
Je tends les clés et monte à l’arrière de ma voiture. Arrivé à l’hôtel, nous montons tous les trois dans la chambre de Maîtresse Karine.
-
Bien petite soumise, tu vas te déshabiller et garde ta culotte.
-
Oui Maîtresse Barbara
Maîtresse Karine ouvre sa valise et sors un corset avec des porte-jarretelles et des bas qu’elle me donne. Pendant ce temps Maîtresse Barbara s’est mise nue et mets un gros gode-ceinture qui doit bien faire 5 cm de diamètre. Elle le lubrifie et une fois que je suis en corset et bas.
- Mets toi à 4 pattes sur le lit que je t’encule ma petite soumise.
Je me mets sur lit et Maîtresse Barbara dégonfle le plug dans mon cul pour m’enfiler le gode ceinture. Le passage de l’un à l’autre me laisse le trou du cul vide et sensible à l’air.
- Tu as le trou qui est tout ouvert. Vite que je le bouche. Dis Maîtresse Barbara.
Pendant ce temps là Maîtresse Karine qui s’est dévêtue sort un appareil photo et nous mitraille. Maîtresse Barbara ma laboure l’anus et je sens la cage de chasteté qui bouge au rythme des coups de boutoirs. Après un long moment et des dizaines de photos, Maîtresse Barbara me dit.
- Mets-toi sur le dos et tiens tes genoux.
Je me repositionne et Maîtresse Barbara me prend encore pendant que Maîtresse Karine me pose son sexe sur ma bouche pour que je la lèche. De temps en temps Maîtresse Karine me présente son trou du cul pour qu’il ait lui aussi son plaisir. Je ne sais pas combien de temps dure cette opération mais mon anus est complémentent défoncé et Maîtresse Barbara tord mon pénis quand elle sent que je vais jouir. Maîtresse Karine explose dans une jouissance dont je bois avec délectation son jus abondant. Elle se soulève un peu et me dit.
- Ouvre ta bouche.
Là, elle me pisse dans la bouche dont j’en bois la miction avec plaisir. Maîtresse Barbara s’enlève de mon cul.
-
Le trou du cul qu’il a. Je pense que nous pourrons rentrer deux mains ce week-end.
-
Attends, prends ma place j’ai une idée. Dis Maîtresse Karine.
Elle ouvre sa valise et sort un gode encore plus gros.
- Je ne pensais pas l’utiliser, il fait tout de même 6,5 cm mais voyons voir. Enlève lui sa cage de chasteté je pense qu’il va jouir avec çà. Je crois que nous avons une perle rare.
Maîtresse Barbara ôte ma cage et se positionne pour que je la lèche pendant que Maîtresse Karine me badigeonne de lubrifiant.
- Ce lubrifiant va te chauffer le cul et tu vas prendre encore plus de plaisir.
Et là, elle me pénètre par des petits allers-retours jusqu’à que je sente son ventre contre mon cul. Ses mouvements sont amples jusqu’à sortir le gode pour mieux le pénétrer pendant que je lèche la chatte et le cul de Maîtresse Barbara. Contrairement à ce que je lisais, je suis loin de bander mais je sens tout de même le plaisir dans mon sexe.
- Putain il coule cet enculé. Il se déverse sans bander. Mouille ta chatte sur son foutre qu’il en profite.
Maîtresse Barbara quitte ma bouche et frotte son sexe et son anus sur mon ventre plein de sperme. Prend un peu de sperme sur mon ventre pour en mettre un peu plus sur ses orifices puis me fait lécher ses doigts.
Moi qui d’habitude lorsque j’ai jouis je suis repus et incapable de remettre le couvert là j’ai encore envie comme si j’en étais au premier round. Maîtresse Barbara se remet sur ma bouche et je lèche son sexe plein de mon sperme ainsi que son anus. Maîtresse Barbara finit par jouir sur ma bouche et comme son amie en profite pour me faire un pourboire de son cru.
Maîtresse Karine sort alors de mon cul et en profite pour prendre encore des photos.
Maîtresse Barbara me remet ma cage de chasteté et un plug dans le cul.
-
Remets ta belle culotte et conserve ton corset. Je l’ai acheté avec ta carte professionnelle. Dit Maîtresse Barbara en rigolant. Encore une erreur de ta part que le patron n’apprécierait pas.
-
Oui, Et si tu n’es pas sage j’ai encore un moyen de plus de t’épingler au prochain audit. Mais les photos devraient suffirent. Dis Maîtresse Karine.
-
Aller vas-t-en maintenant et reviens demain avec ta belle parure et ton gode dans le cul. Tu es un bonne femelle en chaleur et tu viens de perdre ton statut d’homme.
Je pars étourdi de cette soirée, habillé en femme avec une cage de chasteté, enculé par un plug de 5 cm, ayant bu de la pisse et mon propre sperme. Mais étrangement heureux de ma situation.
Le réveil est difficile mais il faut bien retourner au travail pour revoir mes Maîtresses car maintenant je sentais que je devenais accro à cette domination et prêt à tout pour elles. Curieusement, j’avais besoin de garder mon plug dans le cul et je m’habille avec mes dessous féminins ainsi que mon corset et mes bas. J’arrive au travail et trouve Maîtresse Karine qui m’accueille avec un grand sourire.
-
Alors tu es heureux de t’être fait enculé hier soir.
-
Oui Maîtresse Karine, c’était très bon.
-
Ce soir nous remettons ça. Tu va prendre le gros directement.
-
Merci Maîtresse Karine.
-
Déshabille-toi. Je veux voir comment tu es vêtu aujourd’hui.
Sans même réfléchir, j’ôte mon pantalon et ma chemise et je me présente ainsi en dessous.
-
Tu es vraiment une femelle soumise. Tu t’es fait belle. Et en plus tu as gardé ton plug ?
-
Oui Maîtresse Karine. J’aime le sentir en moi.
-
Tu es un phénomène toi. Je crois que je vais prendre plaisir à t’élargir. Rhabille-toi et va travailler.
Je me rhabille et pars dans mon bureau. Peu de temps après Maîtresse Barbara arrive dans mon bureau et ferme la porte.
-
Il parait que tu es une vraie femelle en chaleur ?
-
Oui Maîtresse Barbara.
-
A 10H00, tu viens dans mon bureau pour me lécher la chatte et je te ferai boire mon champagne.
-
Bien Maîtresse Barbara.
Elle repart dans son bureau. Je continue à travailler dans l’attente de l’heure dite.
Arrive 10H00, je me lève et pars dans le bureau de Maîtresse Barbara pour remplir ma tâche. J’entre dan son bureau et je ferme la porte. Me glisse sous son bureau et entreprend de lui lécher la chatte car déjà elle n’a plus de culotte et sa jupe est retroussée. Je m’applique quand j’entends quelqu’un frapper à sa porte et la porte s’ouvrir après qu’elle a dit d’entrer.
-
Tu n’as pas vu Christian. Je le cherche pour lui présenter un dossier ?
-
Si, il est allé grignoter et boire quelque chose en bas. Il ne va pas tarder à remonter.
-
Bien, je te remercie.
Et la personne repart en refermant la porte. Maîtresse Barbara m’attr a p e la tête et la pousse plus fort sur son sexe. Je reprend mon travail qui ne tarde pas à porter ses fruits car Maîtresse Barbara me tient la tête fermement contre son sexe et la serre fermement entre ses cuisses en étouffant sa jouissance.
- C’était bon petite femelle. Maintenant ouvre la bouche que je pisse.
Elle s’avance et lâche de petits jets afin que je puisse avaler toute sa miction. Une fois fini, elle écarte sa chaise que je puisse sortir de sous le bureau.
- Tu peux partir petite soumise.
Je me repeigne et quitte son bureau. Et je passe voir le collègue pour voir ce qu’il cherchait. Ensuite, je peux reprendre mon travail. Et ainsi se passe ma journée.
A 19H00, Maîtresse Karine passe par mon bureau en partant.
-
Tu viens ce soir à mon hôtel pour 21H00. En attendant fait-toi belle car tu vas encore recevoir, ma soumise.
-
Oui Maîtresse Karine.
Je rentre chez moi et prends une petite collation avant de prendre ma douche et de me changer après avoir lavé mon plug que je remets après l’avoir copieusement graissé. Je change de sous-vêtement pour être propre. Une culotte, mon porte-jarretelles et mes bas. Vers 20H30, je me rends à l’hôtel.
Je monte sans trop me faire remarquer et frappe à la porte de la chambre à l’heure dite. Maîtresse Barbara ouvre la porte et me dit.
-
Mets-toi en sous-vêtements avant d’entrer.
-
…
Rapidement je fais ce qu’elle m’a ordonné et entre avec mes vêtements dans les mains.
-
Comme elle est belle ainsi. Que veux-tu faire ce soir ? Me demande Maîtresse Karine
-
… J’aimerais faire l’amour avec mes Maîtresses.
-
…Comment tu parles ? Tu dois dire : Maîtresses, puis-je solliciter que vous puissiez enculer votre pute soumise et lui faire ce que vous désirez sur sa vile personne.
-
Maîtresses, puis-je solliciter que vous puissiez enculer votre pute soumise et lui faire ce que vous désirez sur sa vile personne. Je vous remercie Maîtresses.
-
Oui nous voulons bien et nous allons te laisser un souvenir pour cette nuit. Approche.
-
Merci Maîtresses.
Pendant ce temps Maîtresse Barbara s’allonge nue sur le lit les cuisses ouvertes.
- Viens me lécher petite soumise
Je viens sur le lit à 4 pattes et me mets à lécher le sexe tout humide. Maîtresse Karine après avoir pris de nouvelles photos s’harnache du gode ceinture le plus gros et se positionne derrière moi. Elle m’ôte le plug et commence à promener le bout du gode sur ma raie culière. Elle s’arrête sur mon orifice anal et pousse petit à petit pour le rentrer entièrement. Maîtresse Barbara me tient la tête afin que je ne bouge pas de son sexe. Maîtresse Karine entame un long va et vient de plus en plus rapide, sortant la gode pour le rentrer jusqu'à ce que je sente son ventre contre mes fesses.
- Ce n’est pas vrai, il a tout pris….Ca te fais du bien petite salope…tu aimes te faire enculer par ta Maîtresse.
Disant cela Maîtresse Karine me griffe les fesses puis les claques. Elle attr a p e ma coquille et tire dessus comme si elle voulait m’arracher les parties. Cela m’arrache des larmes mais je continue à lécher avec application car j’aime souffrir pour elles. Pendant ce temps, Maîtresse Barbara me lâche la tête pour me saisir les tétons, les tordre et tirer dessus. Je prends plaisir dans la souffrance.
- Ma parole mais elle jouit cette salope.
Dit Maîtresse Karine en se regardant la main pleine de sperme.
-
Profite bien ma salope, tu ne perds rien pour attendre.
-
Moi aussi je vais jouir… Qu’elle est bonne sa langue…Continue, je veux jouir encore ma cochonne.
Je sens sa cyprine et je continue encore à lécher le sexe de Maîtresse Barbara. Pendant ce temps là Maîtresse Karine semble me faire payer ma jouissance car elle m’enfonce le gode avec f o r c e et griffe de plus belle mes fesse, mon ventre et mon dos. Je commence à avoir mal à la mâchoire et à la langue quand Maîtresse Barbara jouit une nouvelle fois.
-
Que c’était bon, Karine… Je sentais les coups que tu lui mettais dans mon sexe comme si tu me les mettais… Tu veux essayer ?
-
Oui essayons… mais il faut lui mettre des grands coups. Ne t’inquiète pas, ce n’est pas un anus qu’il a mais un garage à bite.
Elles partent à rire toutes les deux comme si je n’existais pas.
- Commence par me lécher les seins puis tu descends pour ma lécher le sexe.
Je me remonte pour lui lécher les seins, les tétons. Les mordille légèrement avant de lécher avec délicatesse. Pendant ce temps là, je sens Maîtresse Barbara me pénétrer l’anus et attaque directement sur toute la longueur car mon anus est tellement large et humide maintenant qu’elle ne prend pas de gants. Je glisse après un moment sur le ventre où je fais de légers suçons avant de passer ma langue. J’arrive à son sexe et commence le léchage. Maîtresse Karine commence à respirer de plus en plus fort. Sa respiration est courte tellement elle est excitée, elle mouille abondamment et me tire les cheveux en disant que c’est bon. Elle dit à Maîtresse Barbara d’y aller à fond de la baiser plus fort, ce que fait Maîtresse Barbara en venant claquer son ventre sur mon cul à une vitesse frénétique. Quand tout à coup Maîtresse Karine jouit en mouillant abondamment. Maîtresse Barbara sort alors de mon cul et me pousse hors du lit pour s’allonger à côté de Maîtresse Karine.
-
C’était bon, tu m’as bien sentie ? Dit maîtresse Barbara
-
Délicieux, tu m’as défoncée.
-
J’ai le cœur qui bat la chamade. Et j’ai envie de pisser.
-
Moi aussi, mais nous allons faire un petit cadeau à la soumise… C’est normal les putes il faut les payer en liquide.
Elles partirent à rire toutes les deux.
- La femelle, tu viens ici… Tu mets ta tête au sol, ton dos le long du lit et les jambes écartées. M’ordonne Maîtresse Karine.
Je me positionne comme demandé. La position est inconfortable et ressemble à un mauvais poirier. Puis elle met des doigts dans l’anus en élargissant au maximum. Elle va cherche dans sa valise un entonnoir à confiture avec un large embout puis me le positionne dans le cul.
- Nous allons te pisser dans le cul puis te remettre le plug. A toi de savoir tout garder jusqu’à chez toi.
Elle se positionne au dessus de l’entonnoir et pisse. Le liquide est chaud et coule dans mon anus. Elle prend le papier hygiénique que lui tend Maîtresse Barbara, s’essuie et me le fourre dans le cul. Puis Maîtresse Barbara prend sa place et fait la même chose. Une fois fini, elle me remet le plug dans le cul.
- Serre fort ton cul et redresse-toi. Je ne veux rien voir sortir… Tu te rhabilles et tu rentres chez toi.
Il est déjà 23H30 et je repars le cul serré, le liquide me fait un drôle d’effet j’ai l’impression que tout va partir tout seul comme si j’avais la courante. Je bouge le moins possible pour ne pas perdre le don de mes Maîtresses.
Arrivé chez moi, je cours vers les toilettes pour me vider. Je prends le bord du plug et tire précautionneusement dessus quand tout le liquide coule sur mes doigts. J’ai du papier et les doigts souillés. Je suis fier d’avoir obéit à mes Maîtresses. Je vais laver le plug et mes dessous féminins, puis je me passe de la pommade car la soirée a été rude et je remets le plug pour me coucher. Le lendemain en arrivant au bureau, je suis étonné ni l’une ni l’autre n’est là. Je ne les vois pas de la journée. Je me sens un peu seul, perdu. Dans la journée je reçois un SMS de Maîtresse Barbara m’ordonnant d’être à son bureau à 8H00 précises avant de partir à Aix.
Le vendredi j’attends dans le bureau de Maîtresse Barbara qu’elle arrive.
- Ha ! tu es là petite soumise. Baisse ton pantalon que je te prépare.
Je baisse mon pantalon et me penche en avant sur le bureau. Maîtresse Barbara m’ôte le plug.
- Ferme les yeux et ouvre la bouche.
Je fais ce qu’elle m’ordonne et me mets le plug dans la bouche.
- Suce le bien, qu’il soit propre pour que tu l’emmènes avec toi à Aix.
Elle m’enfile un autre plug qui a une petite excroissance à sa base.
- Celui-ci vibre par télécommande. Donc attends à sentir ton trou du cul vibrer quand
Maîtresse Karine le voudra. Ne laisse rien paraître. Maintenant pars chez l’esthéticienne.
Je descends au garage et me mets en route vers Aix. En m’asseyant dans la voiture le plug entre un peu plus à cause du vibrateur qui sort. J’arrive chez l’esthéticienne à 10H20 et entre dans son salon, une jeune femme m’accueille. Elle est seule.
-
Je suppose que tu es petite femelle soumise ?
-
Oui madame,
-
Tes Maîtresses on fait une description de toi qui était très précise. Viens avec moi et déshabille-toi dans la cabine. Tu gardes tes dessous.
Je suppose qu’elle sait aussi que j’ai des dessous féminin mais le rouge me monte au front.
- Tu es mignonne comme ça.
Elle me fait allonger sur la table de travail et commence son œuvre d’épilage. Je ne sais pas comment font les femmes mais la cire chaude ce n’est rien par rapport à l’arrachage des poils. Des larmes mouillent mes yeux. Elle a même une clé de ma ceinture de chasteté pour m’épiler les bourses. 2H30 après je suis aussi lisse qu’un nouveau né. Heureusement qu’elle m’a passé de la crème sur tout le corps sinon je serai en feu.
- Tu es belle comme ça, maintenant tu vas me lécher pour me remercier.
Elle enjambe ma tête et applique son sexe sur ma bouche. Je la lèche depuis un moment quand elle part dans une jouissance très forte. Je bois sa cyprine qui est abondante car elle doit être une femme fontaine pour faire autant de liquide. Elle reboutonne sa blouse.
- C’est vrai que tu as une bonne langue. Tu peux partir à ta réunion petite pute.
Je pense que la facture me sera présentée plus tard ou en nature… J’arrive juste à temps pour la réunion chez le Directeur, je me présente à sa secrétaire qui me fait entrer dans son bureau où m’attends déjà Maîtresse Karine. Je serre la main à tout le monde et dit bonjour à Maîtresse Karine sans lui faire la bise.
Le Directeur demande à Maîtresse Karine de présenter son audit et les résultats. Me viens une crainte de mon problème de sites pornos mais Maîtrise Karine n’en parle pas et fait son rapport chiffré en présentant les éléments de contrôle en conclusion mes résultats sont très bons. Chaque fois que le Directeur me pose une question sur un sujet quelconque ou me demande de présenter mon approche par rapport à quelque chose, je sens des vibrations de plus en plus fortes dans mon cul quand je prends la parole. C’est très perturbant et je commence à avoir un début d’érection contrarié dans ma cage de chasteté qui me fait mal. La réunion se termine et Maîtresse Karine me demande de passer à son bureau.
-
Ce soir tu me raccompagnes chez moi et tu passes le week-end avec Maîtresse Barbara et moi.
-
Bien Maîtresse Karine.
Cette nouvelle me rend heureux car j’aime de plus en plus ce qu’elles me font subir. Cette expérience va au-delà de mes fantasmes et de mes lectures. J’ai l’impression de vivre un rêve éveillé dont je suis dans le rôle principal et elles peuvent tout me demander.
Le soir venu, Maîtresse Karine et moi partons pour chez elle. Elle arrivant je découvre une maison de famille hors d’Aix et en pleine campagne. Nous entrons chez elle et elle m’emmène dans son sous-sol, elle me fait découvrir une cave aménagée de différents ustensiles utiles à son rôle de Dominatrice. Bien sur, il y a une croix de Saint-André, une table d’auscultation, un fauteuil gynécologique, une cage avec un matelas dedans et sur des étagères des objets divers dont je n’en connais pas la destination pour tous.
- Déshabille-toi que je vois le travail de mon amie. Tu gardes tes dessous bien sur et ton plug.
Je fais ce qu’elle m’ordonne.
- Tourne-toi. C’est très bien. Monte sur le fauteuil et mets tes jambes sur les étriers.
Elle m’attache les jambes par des s a n g les puis les bras au fauteuil le long du corps. Part chercher un objet derrière moi et me le fixe à la bouche. C’est un écarteur qui m’empêche de fermer la bouche et de parler.
- Quand Maîtresse Barbara sera là nous te ferons un bon lavement, bien que tu sois à jeun, puis nous te préparerons pour notre promesse.
Puis elle part me laissant seul dans le noir incapable de bouger et de parler. Je suis en porte-jarretelles avec mes bas, ma culotte, ma cage de chasteté et mon plug qui vibre dans mon fondement. Mon esprit tourne et j’appréhende malgré tout de la suite.
Après un long moment dont j’ai perdu le repère, j’entends du bruit à l’étage puis de rires et un bruit de vaisselle. Il semble qu’elles se soient installées pour manger tranquillement. J’écoute, essaye de comprendre et attends très longtemps. Enfin des bruits de talons de femmes dans l’escalier, la lumière s’allume et après un petit moment d’adaptation je les vois félines en cuir avec un sourire carnassier sur leurs lèvres.
- Bien nous allons nous occuper de toi.
Maîtresse Barbara s’approche de moi et après avoir passé ses mains un long moment sur mon corps elle commence à m’enlever le plug. Maîtresse Karine approche avec un autre plus gros mais doté d’un tube en son centre. Elle me le pénètre puis m’installe une ceinture autour de la taille qui maintiendra un harnais entre les jambes. Son but est facile à deviner, il servira à ce que le plug ne parte pas. Elle repend un pied comparable à ceux des hôpitaux pour les poches à gouttes à gouttes. La poche qu’elle installe n’a rien à voir, elle est énorme. Après avoir fait le vide dans le tube, elle le connecte à celui du plug et ouvre le robinet. Je sens le liquide s’écouler dans mes intestins. Très rapidement c’est gênant puis difficile à supporter.
Maîtresse Barbara m’enlève la cage de chasteté.
- Tu as trop tendance à jouir malgré la cage donc nous allons te purger.
Elle approche un appareil sur une servante. M’installe un embout sur le sexe.
- C’est un trayeuse et nous allons traire tout le sperme de ton sexe. Après nous serons tranquilles.
L’impression est bizarre mais je suis incapable d’échapper à cela. Elles me laissent ainsi est partent en riant. Je ne sais combien de sperme la machine m’a extrait mais cela deviens douloureux mais je ne peux appeler. J’en oublie presque le liquide que j’ai dans les intestins. J’en ai les larmes aux yeux, j’ai l’impression de me faire pomper du s a n g par le sexe.
J’entends enfin mes Maîtresses qui reviennent et elles approchent de moi tout sourire. Maîtresse Karine regarde son œuvre et découvre la quantité de sperme pompé.
-
Regarde Barbara, ce n’est pas beaucoup mais tout de même c’est pas mal.
-
Oui, garde le pour plus tard peut être qu’il aura faim. Je suis trop bonne de penser à lui.
-
Je le mets au congélateur.
Pendant ce temps là Maîtresse Barbara débranche la poche et approche un grand bac sous le fauteuil. Elle enfile des gants puis le harnais et enfin le plug. J’ai l’impression de me vider des litres. Cela fait un bruit qui est loin d’être sympathique devant mes Maîtresses.
-
Je crois que nous allons refaire un lavage.
-
Hon, hon, hon... Essayais-je de dire
-
Tu veux boire ce que tu as rejeté ?
-
….
-
Bon, je refais un lavage.
Et tout le processus recommence et elles repartent. Les mêmes douleurs, se besoin irrépressible d’expulser sans le pouvoir puisque le plug est bloqué par le harnais. Cette attente est horrible et je les entends en haut papoter. Puis au bout d’un temps qui me semble trop long elles reviennent me délivrer. Le même bac, les mêmes gants et la délivrance.
- Très bien ma belle, tu es toute propre. Nous allons pouvoir te visiter mais avant Maîtresse Karine a quelque chose à faire. Dit Maîtresse Barbara.
Maîtresse Karine vient à côté de moi et me pose sur les tétons des petits tubes transparents sur lesquels sont raccordés des tuyaux. Elle les branche à une machine puis la met en route. Mes tétons sont aspirés dans les tubes.
- Tu vois tes tétons vont s’allonger et, à f o r c e de traitements, faute d’avoir des seins tu auras des tétons qui j’espère auront 2 cm de long. Nous pourrons y mettre des pinces plus facilement.
Puis Maîtresse Barbara tire un tabouret roulant, se met face à mes fesses et Maîtresse Karine lui passe un pot. Je suis badigeonné largement et je sens des doigts inquisiteurs, puis ressortent puis entre mais je sens qu’il y en à plus puis ressortent et ainsi de suite.
- Ca y est il est prêt. Dit Maîtresse Barbara.
Maîtresse Karine amène un miroir sur un bras et le positionne de telle sorte que je puisse voir mon anus.
- Tu as de la chance tu vas sentir et voir. Dis Maîtresse Karine
Et là, je vois Maîtresse Barbara, amener ses doigt serrés en pointe vers mon anus le pénètre en tournant. Les doigts sont entrés et elle arrive à la paume.
- Tu as bien été élargi ces derniers jours ça rentre comme dans du beurre.
Elle tourne, pousse et entre petit à petit bientôt la paume est entrée à moitié. Elle ressort et reprend sa pénétration après avoir remis de la pâte que je suppose être du lubrifiant. Le travail continu depuis je ne sais combien de temps mais la main est presque entrée. Quand tout à coup elle en est au poignet. Je sens sa main à l’intérieur de moi. Elle bouge les doigts et caresse l’intérieur de mon conduit et ma prostate. Je commence à bander tellement ça m’excite.
-
Ah non, tu ne vas pas jouir encore. Karine remet lui la pompe à sperme. Dit Maîtresse Barbara
-
Il a des grandes réserves, je lui mets. Continue pendant ce temps là
J’ai beau ahaner et faire non de la tête rien n’y fait. La pompe est mise en place et la succion recommence.
Maîtresse Barbara continue l’avancée de son bras qui est pratiquement au coude. Je la sens fortement en moi, pendant que la pompe aspire mon sperme en quantité. C’est une sensation bizarre que de sentir un bras dans son fondement pendant que l’on se fait pomper le sexe et allonger les tétons, mais je suis comme sur un nuage. Je suis heureux. Et là, Maîtresse Barbara serre son point et commence à me pistonner l’anus. J’hurle de bonheur. Puis je tombe dans une semi-inconscience.
Je me réveille, je suis toujours sur le fauteuil gynécologique et attaché. Mes Maîtresses sont à côté de moi. J’ai toujours la pompe à seins. J’ai l’impression d’avoir l’anus béant.
-
Quelle jouissance tu as eu. Alors heureuse ?
-
…. Oui Maîtresse Barbara
-
J’ai été obligée de te faire revenir avec des sels comme une bonne soumise que tu es. Tu sais que tu avais ta petite chatte grande ouverte. Ca aurait été dommage qu’elle se referme donc je t’ai mis un spéculum pour maintenir l’ouverture. Regarde tes tétons, ils ont grandi, tu deviens une vrai femelle.
En effet je regarde et levant la tête et je vois mes tétons qui remplissent les tubes.
-
Tu sais que tu as fais encore du sperme en quantité ?
-
Non Maîtresse Barbara.
-
Pour que tu reprennes des f o r c e s tu vas le boire mais d’abord tu le gardes dans la bouche pour en profiter. Ouvre ta bouche.
Maîtresse Karine arrive avec un récipient et me verse son contenu dans la bouche. La quantité est vraiment grande.
- Garde bien ton sperme pour que tu puisses profiter du goût petite soumise. Fait le passer dans ta bouche comme un grand vin.
Je fais ce qu’elle m’ordonne.
-
Avale !
-
C’est bon ?
-
Oui Maîtresse Karine
-
T’en veux encore ?
-
Non merci Maîtresse Karine
-
Pardon ????
-
Si vous voulez Maîtresse Karine
-
Gourmande ! Plus tard. As-tu envie de pisser ?
-
Oui Maîtresse Karine
-
Pisse dans le pistolet.
Elle me met le pistolet pour que je pisse.
- Je vais te mettre ta pisse dans le cul et le plug pour boucher puis tu iras dormir dans ta cage. Et puis, je te bride les tétons. Ce serait bête de perdre une telle longueur.
Elle me détache après avoir fait le nécessaire. M’amène à la cage dans laquelle se trouve un matelas. Puis elles partent en éteignant la lumière. Je m’endors du sommeil des justes malgré la situation hors norme de la situation.
Le matin, enfin je pense que c’est le matin car dans le sous-sol et sans fenêtre il m’est difficile de savoir l’heure qu’il est. Maîtresse Karine arrive habillée d’une superbe guêpière de cuir rouge s a n g laissant apparaître une poitrine haute et délicate. Il est lacé sur le côté et le devant dont la peau est perceptible au travers. Elle a une taille de guêpe que le string de la même matière souligne avec délicatesse. Les bas coutures sont maintenus par des jarretelles et des bottes de la même couleur donne à ses jambes une longueur infernale.
- J’espère que tu as bien dormi. Maintenant tu vas va être mis en condition pour ta journée. Viens sur le fauteuil gynécologique.
Elle ouvre la cage et je vais tant bien que mal sur le fauteuil où elle m’attache comme hier. Elle me pose les suceurs de tétons, un bâillon avec un sexe factice dans la bouche et la pompe à sperme puis elle part. L’horrible d’hier recommence je sens mon sexe aspiré inlassablement. C’est désagréable mais je subis pour mes Maîtresses. Un temps incroyable après elle revient débranche la pompe à sperme en laissant les suceurs en place. Puis dépose mon sperme dans le congélateur. Avant de débrancher le suceur, elle me met des brides aux tétons.
-
Comme ça tes tétons ne vont pas se rétracter trop vite. Ce serait dommage avec la longueur qu’ils ont prit. Je vais te détacher, tu vas aller dans la salle de bain au fond de la salle pour que tu te laves. Puis, tu as des vêtements que tu mets et tu montes pour le petit déjeuner.
-
Oui, Maîtresse Karine.
La porte n’avait pas attiré mon attention, je l’ouvris et entrais dans la salle de bain. Je trouve des vêtements féminins à ma destination. Tout le nécessaire de toilette est disponible. Je me déshabille et me lave les dents, j’ouvre un robinet pour me rincer la bouche. L’eau est froide, je tourne le mitigeur vers l’eau chaude et l’eau est toujours froide. Il va bien falloir que je prenne ma douche et je m’arme de courage pour y aller. Une fois fini, je me sèche en frictionnant bien pour me réchauffer. Je regarde plus précisément les vêtements qui sont disponibles pour m’habiller. D’abord, et bien sûr, un plug que je mets puis une ceinture corset, un porte-jarretelles avec des bas noirs puis une culotte et un tablier de soubrette dont je ne vois pas très bien comment faire tenir le plastron. Il a bien deux petites pinces en haut mais pas de lanière à attacher. Il y a aussi du parfum de femme. Je suppose que mes Maîtresses veulent que je l’utilise. Ce que je fais. Il reste des chaussures à enfiler. Des escarpins avec des talons qui doivent faire 10 cm. Je les regarde, elles sont à ma taille. Je les enfile et essaie de marcher avec. Ce n’est pas gagné mais je sors tant bien que mal de sortir de la salle de bain mais le plus dur est de monter les escaliers. J’arrive enfin au rez-de-chaussée et je les trouve. Maîtresse Barbara est en guêpière de satin noir.
- Je vois que ton tablier n’est pas attaché.
Elle s’approche de moi et prend une pince pour la fixer à mon téton puis fait de même avec l’autre côté.
- Voilà, nous allons prendre le petit déjeuner.
Je me dirige avec elles vers la salle à manger et m’aperçois que la table est mise pour deux.
- Toi, tu passes sous la table. Tu nous lèches et, si nous sommes contentes de toi, tu pourras manger.
N’ayant pas mangé depuis la veille au matin je me dépêche de faire le nécessaire pour avoir quelque chose à manger. Je passe sous la table et m’aperçois que les chaises de mes Maîtresses sont évidées à leur centre en forme de U dont l’ouverture est vers moi de sorte que la vulve et l’anus sont libres. Elles ont ôté leurs strings pour passer à table. Je commence à lécher Maîtresse Karine qui semble prendre beaucoup de plaisir que je passe à son anus pour varier les plaisirs. Pendant ce temps là elles discutent de tout et de rien même si un moment Maîtresse Barbara semble faire un monologue. Maîtresse Karine jouit bruyamment. Puis elle me repousse avec le pied. Je passe à Maîtresse Barbara et procède de la même manière. Elle aussi en arrive à jouir à son tour.
- Sors de là et viens manger. Me dit Maîtresse Karine.
Je sors de sous la table et prends la dernière chaise. En son centre il y a un gode énorme qui est fixé et une s a n g le devant celui-ci.
- Enlève ta culotte puis tu enlèves ton plug et tu t’empales.
Je fais ce qu’elle m’ordonne, Le gode est vraiment gros et long. Une fois empalé, Maîtresse Karine m’attache la s a n g le autour du sexe puis la ferme avec un petit cadenas. Si je voulais me lever je ne pourrais pas.
- Mange petite soumise.
Je regarde dans l’assiette et le bol. Ce ne sont que les restes de leurs propres petits déjeuners. Elle pose aussi des comprimés en m’expliquant.
-
Tu vas prendre tous les jours ces comprimés. Ce sont des hormones pour te féminiser un peu plus car cous allons te transformer en femelle et pour compléter le traitement tu boiras tous les jours de notre urines qui ont aussi des hormones. Tu as compris ?
-
Oui Maitresse Karine.
-
Après ton petit déjeuner, tu vas descendre et te remettre sur le fauteuil gynécologique pour que nous traitions encore tes tétons mais aussi tes seins. Et bien sûr nous allons te traire et élargir ta chatte.
-
Bien Maîtresse Karine.
-
Et dorénavant, tu es une femme. Tu as perdu ton statut d’homme.
-
Bien Maîtresse.
Je mange le petit déjeuner dans lequel elles crachent de temps en temps, mais j’aime tout avoir d’elles. Une fois fini, elles me détachent la s a n g le afin que je me lève. Je me décule.
- Suce le gode avant de descendre.
Je me mets à genoux et suce le gode.
- Entre-le complètement dans ta gorge.
Je m’empale la bouche et l’entre si bien que rapidement j’ai le nez qui touche la chaise.
- Descend maintenant.
Je me lève et descend l’escalier. Les talons me font bouger mon bassin et la descente de l’escalier est périlleuse. J’arrive au fauteuil et m’installe dessus. Je mets mes jambes dans les gouttières.
-
Nous n’allons pas t’attacher, tu seras sage petite femelle esclave.
-
Oui Maitresse Karine, je suis prête pour tout ce que vous allez me faire.
Maîtresse Barbara m’installe la pompe à tétons puis la trailleuse à sperme. Pendant ce temps là Maîtresse Karine me met le plug à lavement et me branche la poche qui est plus grosse qu’hier soir.
- Tout à l’heure nous allons faire un peu d’équitation. Tu auras un plug qui se gonfle à chaque fois que tu t’assois dessus. Tu cul sera comblé très rapidement et tes tétons auront des petits poids. Tu vas être aux anges. Mais en attendant tu vas boire ta dose de notre champagne.
Elle m’installe un bâillon avec un embout qui m’entre dans la bouche. Elle raccorde une nouvelle poche dessus et ouvre le robinet.
- Tu as notre champagne que nous avons collecté depuis hier soir.
Je commence à boire cet élixir qui est plus fort en goût. C’est certainement l’urine du matin. Et elles me laissent ainsi quelques temps. Le lavement commence à me gêner et la pompe à sperme me fait mal à la verge mais je ne bouge pas et je résiste pour satisfaire mes maîtresses. La poche à urine se vide petit à petit.
- Elles redescendent avec des vêtements.
Maîtresse Barbara débranche la poche à urine qui est vide puis m’enlève le bâillon.
-
Tu as aimé le champagne de tes Maîtresses ?
-
Oh oui Maîtresse Barbara.
-
Tu en veux encore ?
-
S’il vous plait Maîtresse Barbara.
-
Tu es gourmande, mais c’est tout pour l’instant
Là elle commence à mettre une bassine sous moi pour que je vide ma chatte de son lavement. Rapidement c’est fait. Maîtresse Karine débranche la pompe à tétons pour m’installer une autre pompe qui recouvre mes seins et la met en route.
- Nous allons te pomper tes seins pour les gonfler un peu mais pour cela nous allons leur injecter un produit hormonal pour les aider à prendre du volume.
Et Maîtresse Karine me fait une série de piqures sur le pourtour. Pendant ce temps là Maîtresse Barbara m’installe un plug qui a une petite pompe à sa base.
- Pour patienter, tu nous fais jouir.
Maîtresses Barbara met un tabouret de part et d’autre de ma tête et monte dessus si bien que j’ai la fourche de ses jambes au-dessus de moi. Elle descend et je me mets à lécher son sexe qui est trempé de mouille. Rapidement elle ondule du bassin et exprime son bonheur en me traitant de femelle en chaleur. Elle jouit en criant. Après avoir reprit ses sens elle avance son anus vers ma bouche et me dit.
- Ouvre la bouche j’ai un souvenir pour toi.
J’ouvre grand la bouche et attend pendant que je sens qu’elle pousse. Malgré la crainte, j’attends puis quelque chose sort de son anus, ma crainte semble être confirmée ce qui sort est marrons tombe dans ma bouche. Puis une autre bille tombe et encore d’autres. J’ai la bouche pleine
- Mange.
Je me mets à mâcher et contrairement à ma crainte ce sont des petits boudins cocktail qu’elle gardait dans son anus.
- Surprise… rigole-t-elle. Ouvre, j’en ai encore.
Et elle fait tomber une autre quantité de boudins, que je mange.
Rapidement elle est remplacée par Maîtresse Karine et je me mets à faire mon office. Elle aussi monte vers son plaisir et me prend la tête comme si elle voulait la rentrer dans son sexe et elle jouit en criant elle aussi son plaisir.
- Oh oui que c’est bon, tu es excellente comme lécheuse, soumise. Moi aussi, j’ai quelque chose pour toi.
J’ouvre la bouche et tombe quelque chose de clair. Je commence à manger, c’est une petite banane.
Elle descend à son tour et comme à débrancher la pompe à seins.
- Ce n’est pas mal comme résultat. Maintenant voyons ton sperme. Mazette quelle quantité.
Elle prend le sperme et part le mettre avec le reste dans le congélateur. Maîtresse Barbara m’installe la cage de chasteté et des poids aux tétons.
- Descend de là et refait toi belle. Puis tu mets le pantalon d’équitation et les bottes.
Je remets un peu d’ordre dans ma tenue. Lisse mes bas, redresse ma guêpière et réajuste ma culotte puis je mets le pantalon d’équitation qui est très tendu sur mes jambes et mon cul. J’enfile les bottes qui sont un peu justes puis un chemisier blanc.
- Tu es mignonne ainsi. Tu vas faire fureur si nous rencontrons quelqu’un en route.
Nous partons et montons en voiture. En m’asseyant je sens un petit coup de pompe et le plug augment légèrement. Nous arrivons dans un haras où trois cheveux sont prêts. La patronne arrive.
-
Bonjour mes chéries. Vos chevaux sont prêts. Elle est mignonne votre copine.
-
Bonjour Christine. Oui, c’est une nouvelle. Mais tu verras elle est douée.
-
Bonne ballade.
-
A tout à l’heure
Nous montons à cheval et en me posant sur la selle, nouveau coup de pompe. Nous partons au pas et tout va bien.
Au bout d’un petit moment Maîtresse Karine dit.
-
Si nous faisions un peu de trot monté ?
-
Oh oui. Dit Maîtresse Barbara.
Chose dite nous faisons du trot et chaque fois que je pose mes fesses un autre coup de pompe. Si bien qu’un moment le plug est énorme dans mon cul que j’en ai le souffle coupé. Nous croisons une jeune femme devant chez elle.
-
Bonjour Sandra.
-
Bonjour Barbara, bonjour Karine.
-
Tu viens toujours ce soir.
-
Je ne manquerai cette soirée pour rien au monde.
-
Ah oui, Christiane nous ne t’avons pas dit mais ce soir nous recevons des gens et tu seras la reine du bal.
Les trois femmes partent dans un rire. Puis nous repartons au pas. La ballade se finit et heureusement car j’ai l’impression d’avoir le cul qui va se fendre en deux avec le volume du plug qui doit être énorme. Nous arrivons au haras et la patronne nous attend.
-
La ballade a été bonne. Votre amie semble avoir des difficultés ?
-
Ne t’inquiète pas, Christiane est un peu constipée cet après-midi. Dit Maîtresse Karine en riant.
Je descends du cheval avec difficultés et j’ai du mal à marcher. La patronne dit alors.
- Je la plains car faire du cheval dans ces conditions ce ne doit pas être de tout repos. Je peux faire quelque chose pour que ça passe ?
Joignant la parole au geste, elle me passe la main aux fesses et appuie sur quelque chose pour que le gode se dégonfle dans une grande partie. Je suis soulagée d’un seul coup.
-
N’est ce pas que j’ai la main merveilleuse ?
-
Oui, vraiment merveilleuse, Madame. Merci beaucoup.
-
Peut-être pourras-tu me faire plaisir en retour ce soir ?
Comprenant que celle-ci est complice de mes Maîtresses, je lui réponds.
-
Volontiers Madame. Enfin, si mes Maîtresses m’y autorisent bien sur.
-
A ce soir donc
Nous montons en voiture, et Maîtresse Barbara me dit.
-
T’es vraiment une allumeuse. Nous allons régler cela ce soir.
-
Pardon, Maîtresse Barbara.
Nous rentrons à la maison et mes Maîtresses m’ordonnent de descendre à la cave. Ce que je fais. J’attends depuis un petit moment et elles arrivent avec un petit sourire aux lèvres qui me laisse présumer qu’elles ont préparé quelque chose pour moi.
- Tu ne gardes que les sous-vêtements et installe-toi sur le fauteuil. Me dit Maîtresse Karine.
Je me dévêts pour ne garder que la guêpière, mes bas et ma culotte puis je m’installe sur le fauteuil et mets mes pieds dans les étriers.
Maîtresse Barbara m’ôte la cage pour me mettre la trayeuse à sperme. Pendant ce temps là, Maîtresse Karine me fait une piqure d’hormones aux seins puis m’installe la pompe à seins. Le plug est ôté pour en installer un autre qui est branché à une autre machine. Celui-ci se gonfle progressivement puisse dégonfle, et le cycle recommence.
-
Nous te préparons pour ta soirée. Tu seras la pute de service. Me dit Maîtresse Barbara
-
Tu seras l’invitée d’honneur de la soirée mais tu ne verras rien puisque nous allons te masquer les yeux. Tu feras tout ce qu’il t’est demandé. Tu as compris ?
-
Oui, Maîtresse Karine.
Elle approche de la pompe anale et augmente la pression de gonflage. L’anus se distend et je sens que la dimension doit être énorme. Il se passe un long moment comme ça, puis mes Maîtresses viennent me délivrer.
- Tu descends du fauteuil et tu vas prendre ta douche dans le petit cabinet.
Je passe dans le petit cabinet de toilette pour me laver, je me dévêts et comme je le craignais l’eau est encore froide. En sortant de la douche je cherche la serviette mais il n’y en a pas. Je retourne vers mes Maîtresses encore mouillée.
- Bien, viens ici.
Je m’approche de Maîtresse Karine.
-
Tu es toute mouillée en pensant à la soirée. Rit-elle
-
Penche-toi en avant que je te prépare.
Je me penche et elle se place derrière moi. Elle me badigeonne l’anus pour m’introduire ce que je suppose être un plug.
- Je te mets un tunnel afin de te garder bien ouverte.
Je sens que ça rentre et que c’est très gros.
- Redresse-toi et enfile çà.
Elle me tend une tenue en latex que j’enfile avec difficulté. Après un bon moment, la tenue me couvre des pieds à la tête. L’entrejambe est largement ouvert ainsi que les seins et la cagoule que je n’ai pas encore enfilée pend dans mon dos.
- Tourne-toi.
Elle m’installe des bouchons d’oreilles puis m’enfile la cagoule qui me couvre toute la tête sauf le nez et la bouche. Elle ferme la fermeture éclair et je suis isolée de tout. C’est une sensation bizarre car je ne vois rien et je n’entends que d’une façon lointaine.
Elle me prend par les épaules et me tourne. Je sens qu’elle me passe quelque chose autour de ma taille. C’est un corset qu’elle commence à serrer. Elle me met un genou dans le bas des reins et tire de plus belle sur les lacets. J’ai le souffle coupé. Je dois respirer superficiellement. J’halète, puis elle me fait avancer, puis me tourne et m’accompagne en arrière. Je touche le bord d’une table ou un banc. Elle m’accompagne encore en arrière pour que je me couche dessus. Elle me pose les jambes sur des appuis. Je dois être sur le fauteuil gynécologique. Me les attache et positionne mes jambes de façon très écartées. Je sens mon anus qui est ouvert avec mon tunnel qui le garde accessible. Puis elle prend les bras pour les mettre sur des accoudoirs qui sont en croix par rapport à mon corps. Je suis crucifié sur le fauteuil. Elle m’introduit quelque chose dans la bouche qui m’écarte les mâchoires. J’ai la bouche grande ouverte. Elle s’occupe de mes tétons et met l’aspirateur en route. Mes tétons sont aspirés.
Je me retrouve ainsi écartelée sur le fauteuil avec l’impossibilité de voir ou d’entendre quoi que ce soit. C’est un sentiment bizarre d’être livrée à l’inconnu dans une gangue de latex qu’il m’isole du monde extérieur.
Puis plus rien, je dois être seule. Combien de temps passe ainsi, je n’en sais rien.
Après un long moment, je sens que quelqu’un est à côté de moi. Je le devine puis je sens une odeur de parfum. J’entends un bruit assourdi de voix. Homme et/ou femme, je ne sais pas. Il me vient un doute, une crainte. J’ai la bouche sèche de l’avoir grande ouverte. Une main se pose sur mon torse, me tire doucement les pompes sur les tétons. En même temps quelque chose touche le fond de ma cavité anale. Me caresse le fondement. Un liquide coule dans ma bouche, quelques gouttes seulement. J’avale avec difficulté, car avaler avec l’écarteur est très difficile. La personne n’est pas seule car tout se fait en même temps. Je suis livrée à plusieurs personnes. Je ne suis plus qu’une chose. Un objet sexuel.
Quelqu’un m’enlève la cage puis une bouche se pose sur mon clitoris et le suce. Le suce mais aussi le mordille en tirant sur les testicules. La bouche se pose sur les couilles et les aspire. J’ai l’impression que la personne veut les avaler, les manger. Elle me masturbe tout en aspirant mes couilles. Même si le corset me gêne, je respire de plus en plus vite car cela fait longtemps que cette chose ne met pas arrivée d’une façon si féminine ou plutôt féline. Je suis tripotée pendant un long moment pendant que je sens que quelque chose se pose sur chacune de mes mains. Ce sont des sexes féminins que je sens dans mes mains. Je les caresse et introduit un doigt dans chacune. Les sexes sont très humides et chauds. Je sens que je vais jouir. Mais la personne s’arrête. Mais moi, je continue à caresser les sexes. Mes tétons sont toujours triturés et la pompe accélère en cadence et en puissance. Mon anus est de nouveau visité mais il me semble que c’est un liquide chaud qui coule dedans. Je ne sais pas ce que c’est. Puis il semble être aspiré, car je ne sens plus que du froid comme si j’étais humide.
On me verse un liquide tiède dans la bouche que j’avale avec difficulté. J’ai vaguement l’impression que ce doit être de l’urine. J’espère que ce n’était pas celui que j’avais dans le cul. Mais j’avale. On m’enlève l’écarteur et on m’applique un sexe féminin sur la bouche que je lèche avec plaisir. Quel bonheur d’avoir trois sexes féminins à ma disposition. Le tunnel m’est enlevé pour sentir des doigts qui fouillent mon anus. Ils visitent mon anus avec délicatesse entrent et sortent inlassablement. Puis mon anus me semble être de plus en plus sollicité car il s’écarte à chaque pénétration. Ca commence à devenir difficile mais la pénétration continue. Je continue malgré tout mon léchage qui semble plaire à la dame car elle se frotte de plus en plus fort et elle me tient la tête comme si elle voulait le rentrer dans son sexe. Les deux autres femmes se saisissent de mes mains pour les rentrer dans leurs sexes. Elles poussent et rapidement, je sens qu’elles sont prisonnières de deux gants de chair. Elles tiennent mes poignets et se masturbent avec mes mains en elles. Mon anus semblent être à deux doigts de se déchirer tellement que la pénétration est forte. Et d’un seul coup, la main est entrée dans mon cul. Je crie mais le sexe me bâillonne. La main dans mon cul me pilonne et la sensation est énorme. Je suis enculé comme si mon cul n’était plus qu’un hall de gare. C’est trop bon.
Soudain la main dans mon anus se retire, je sens un grand vide. Mais aussi les deux sexes qui emprisonne mes mains et celui qui me bâillonne. La pompe à sperme est posée sur mon sexe et l’aspiration se met en route. Je sens que je coule car l’excitation est à son paroxysme, j’ai encore envie d’être possédée comme une femelle en chaleur. Et à ce moment là, comme si quelqu’un avait entendu mon souhait, une main se présente à mon anus. Elle me pénètre comme si l’anus était ouvert pour cela. Le poing se ferme et la masturbation anale recommence. C’est puissant, j’ai m’impression qu’un marteau pilon me défonce le fondement, que mes tripes remontent avant d’essayer de sortir et le cycle recommence. C’est une impression grandiose, j’hurle de bonheur. Après un temps incroyable, la main se retire et un sexe se pose sur ma bouche pour me désaltérer. J’avale comme une rescapée du désert. Et bientôt, la main revient et tout recommence. Je ne sais pas combien de fois j’ai subit cette assaut mais bientôt je suis parti dans les vaps.
Quand je reviens à moi, je suis toujours dans la même position mais avec un gode qui me semble énorme dans le cul qui est très sensible et un autre dans ma bouche. Je suis bien et repu de sexe. Je reste ainsi dans un demi-sommeil quand je sens de nouveau des mains sur moi. Je sens qu’on me détache. On me redresse la tête pour m’ôter le gode de la bouche puis la cagoule. Je vois enfin mes Maîtresses habillées de cuir fin qui épouse les formes. Maîtresse Barbara m’enlève les bouchons d’oreilles.
-
C’est bien petite pute, tu as fais plaisir à nos amies. Elles t’ont toutes enfilées leur main dans ton cul et tu as bu toute leur urine. Elles étaient si contentes qu’elles veulent te revoir avec des anneaux aux seins. Ce que nous allons faire demain matin avec une amie.
-
En attendant, me dit Maîtresse Karine, tu dois avoir faim ?
-
Oui, Maîtresse Karine.
Elle apporte un grand bol de crème et me le tend.
- Tiens prend ton bouillon, c’est tout le sperme de ton week-end. Tu en as fait un gros volume ce soir.
Je suis un peu dégoûté, mais je m’exécute. Je bois à petites lampées. Et enfin, je finis mon bol.
- C’est bien, tu remets ta cagoule et tu vas te coucher. Mais avant tu vas remercier Maîtresse Barbara et moi-même pour la bonne soirée que nous t’avons donné. Tu vas lécher nos bottes puis nos anus. Nous t’avons fait un petit cadeau nous nous ne sommes pas essuyées ce soir. En ton honneur.
Je me mets à quatre pattes puis je m’applique à lécher les bottes de mes Maîtresses qui se sont assises dans deux fauteuils. Je m’applique et lèche par de grandes lampées. Maîtresse Barbara me tend sa semelle pour que je la lèche. Ce que je fais. Rien de bien agréable pour moi, mais Maîtresse Barbara semble satisfaite. Bientôt Maîtresse Karine, s’avance sur son fauteuil. Je comprends qu’il faut que je change de léchage, j’arrive entre ses jambes et je passe mon museau en ses cuisses pour lécher son anus. Mon nez entre dans sa vulve. Si le goût est suspect, la position est très agréable. Avoir le nez dans le sexe de ma Maîtresse est formidable pour moi. Je lèche avec application et le goût disparaît peu à peu. Après un petit moment, Maîtresse Karine me repousse et je vois que Maîtresse Barbara est dans la même position. Je m’empresse de lui faire la même chose.
Le goût est moins soutenu et l’anus est plus ouvert. Je soupçonne que quelque chose de gros est rentré là-dedans et que mes Maîtresses se sont bien amusées pendant que j’étais sourd et aveugle. Me faire défoncer l’anus par toutes ses Maîtresses a dû les exciter. Tout à coup, Maîtresse Karine me fouette les parties génitales.
- Sale traînée, tu as le clito tout tendu. Je vais te faire passer cette envie moi.
Maîtresse Barbara me tient la tête entre ses cuisses pendant que Maîtresse Karine me fouette de plus en plus fort. J’ai mal mais je continu à lécher le nez coincé dans la vulve qui mouille. Ma respiration devient difficile en raison du corset dont la position accentue la gêne et du nez dans le sexe de ma Maîtresse, mais je ne peux pas bouger.
- Pour ta punition, tu vas nous enlever nos bottes puis tu nous lèche les pieds.
J’ôte les bottes de Maîtresse Barbara, puis je m’applique à lécher son pied qui sent très fortement.
- Lèche bien entre les orteils et suce chaque doigt comme une verge. Fais des pipes à ta Maîtresse adorée.
Je passe ainsi ma langue entre les orteils et prends chaque doigt dans ma bouche pour les sucer. Je fais ainsi le deuxième pied. Quand Maîtresse Barbara est satisfaite, je passe à Maîtresse Karine. Je m’applique pour lui rendre les pieds propres.
- Nous allons te préparer pour la nuit, me dit Maîtresse Barbara. Monte sur la table d’osculation. Sur le dos.
Maîtresse Barbare arrive entre mes jambes et m’ôte le gode. Je l’aperçois, il est énorme, il doit fait 9 à 10 cm de diamètre. Je n’aurais jamais cru que l’on puisse me rentrer ça dans le cul il y a peu de temps. Maîtresse Karine arrive avec un objet qui se termine par une grosse boule. Elle me rentre le sexe dans un fourreau auquel est reliée la boule. La boule termine dans mon cul.
- Tu vois le fourreau et en matière tissée comme une chaussette. Si on tire dessus, le tissage se resserre sur ton clitoris. Donc, cela ne peut pas partir. Le fourreau est relié par un tube à la boule percé qui a un clapet anti-retour dedans. Quand tu vas pisser, et tu vas le faire avec tout ce que tu as bu ce soir, tu vas recevoir cela dans ton anus. Je t’installe un collier de chienne avec une plaque au nom de tes Maîtresses. Si tu te perds.
Sur cette explication Maîtresse Karine m’enfile une culotte en latex qui garde le tout bien en place. Puis elle me place la cagoule sur la tête ainsi qu’un collier qui me bloque la position de la tête et je sens une de mes Maîtresses m’accompagne dans ma cage. Elle m’y installe et m’attache. Je les entends partir en me laissant là. Rapidement et malgré la position, je m’endors.
Dans la nuit, je ressens une furieuse envie de faire mes besoins. Je me retiens, mais n’y tenant plus je lâche un jet d’urine et je sens la chaleur qui arrive dans mon anus. C’est loin d’être désagréable. Je me lâche encore plus pour faire avec délectation mon besoin naturel dans son entier. La délectation est d’avoir fait mais aussi cette impression dans le cul. Ce liquide chaud me fait du bien. Je me rendors sur ce bien-être.
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